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Houmous à l’ail des ours, mijoté de porc au cidre et à la berce, dahl de lentilles corail à l’épinard sauvage, ceviche de thon au wakamé, panna cotta sarrasin-sureau, brownie chocolat-piment…

Que se soit pour un repas rapide au bureau ou pour un dîner bien au chaud à la maison, vous trouverez forcément votre bonheur aux Herbes Folles.

 

 

Une cuisine de saison, très végétale, tournée vers les petits producteurs locaux ...

Autour de Douarnenez, il y a des pêcheurs, des mareyeurs, des éleveurs, des producteurs… Ça nous parait normal de travailler avec eux. D’utiliser des produits locaux, de saison, de petits producteurs (pas forcément bio parce qu’on préfère acheter les fromages d’un papy qui élève ses vingt chèvres en liberté dans les Monts d’Arrée et qui ne s’est jamais posé la question de savoir

s’il répondait aux critères du cahier des charges d’un label plutôt que de prendre

du bio industriel juste parce qu’il y a un joli logo vert sur le (sur)emballage).
Pour nous, ce n’est pas du militantisme, c’est contribuer à faire fonctionner,

à notre toute petite échelle, une économie du bon sens.

De la même façon, pendant des décennies, dans la cuisine française, les légumes

ont été relégués au rang de « garniture » ou d’accompagnement.

A l’inverse, sans être végétarien, aux Herbes Folles, nous voulons

proposer une cuisine beaucoup plus centrée sur le végétal.

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… agrémentée de plantes sauvages comestibles.

C’est souvent dans l’histoire familiale que naissent les vocations culinaires. Combien de chefs a-t-on entendu raconter le souvenir d’heures passées, enfant, à regarder émerveillé un papa, une maman, une grand-mère véritable cordon bleu, affairé derrière une antique gazinière à bois ?
Moi aussi c’est à ma maman que je dois mon amour des fourneaux… Ma mère cuisinait tellement mal que, dès que j’ai été assez grande pour atteindre le four, je lui ai confisqué le tablier ! 


 

Nous ne roulions pas sur l’or, le moindre aliment était bienvenu.

A défaut de briller par ses talents gastronomiques, ma mère connaissait merveilleusement l’usage des plantes sauvages. C’est donc naturellement que je me suis mise à les cuisiner ! Si je n’avais pas de vanille, j’utilisais de l’églantier. Si le basilic était trop cher, je cueillais de l’ail sauvage en forêt.

Les plantes sauvages comestibles sont devenues « tendance ». Du coup, alors qu’il s’agit de produits populaires, on les trouve surtout sur les tables des restaurants huppés. Grégory et moi, ça nous agace profondément. C’est pourquoi nous avons eu envie de les rendre accessibles au plus grand nombre, en proposant une cuisine originale mêlant terroir et exotisme, créativité et simplicité. "

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